[lnkForumImage]
TotalShareware - Download Free Software
Usa Forum
 Home | Login | Register | Search 


 

Forums >

soc.culture.belgium

Israël et/ou l'Amérique sont impliqués dans l'assassinat de Rafiq Hariri

Henri Fernet

2/18/2005 1:32:00 PM

Israël et/ou l'Amérique sont impliqués dans l'assassinat de Rafiq Hariri

«C'est l'oeuvre d'un service de renseignement, pas d'un petit groupe», a dit
Rime Allaf, analyste spécialiste du Moyen-Orient au Royal Institute of
International Affairs de Londres.

Il nous faut procéder comme dans d'autres affaires criminelles: regarder à
qui l'assassinat du Premier ministre Hariri pourrait le plus profiter. Les
Libanais avaient beaucoup à y perdre, tout comme les Syriens (Hariri était
proche de Bashir al-Assad, le président syrien), et il en va de même des
autres pays arabes de la région, qui voyait en lui un leader solide et une
force stabilisatrice pour la politique libanaise. En revanche, Israël veut
depuis longtemps l'installation du chaos au Liban, comme l'Amérique, et les
deux pays s'agitent depuis longtemps pour que le Hizbollah soit mis
hors-la-loi et tant l'Amérique qu'Israël veulent expulser la Syrie du Liban.
Dans les deux cas, le gouvernement libanais a répondu: «Non»: «le Hizbollah
est une composante respectable de la vie politique libanaise, et la Syrie
est ici, au Liban, afin de le protéger d'une éventuelle agression
israélienne».

Vous avez beau chercher, vous ne trouverez personne d'autre qui ait quoi que
ce soit à gagner à cet assassinat, mis à part Israël et les Etats-Unis,
parce que la mort de Hariri est susceptible de causer des troubles dans la
vie politique et la vie tout court au Liban, ce qu'ils souhaitent ardemment.

La plupart des experts du Moyen-Orient, dans le monde arabo-musulman,
pensent que ce sont des mains israéliennes qui ont ouvré à assassiner
l'ex-Premier
ministre libanais, Rafiq Hariri.

L'Amérique a été prompte à pointer un index accusateur sur la Syrie, comme
Israël, ce qui revenait à avouer leur propre culpabilité, ces deux pays
étant les deux seuls à avoir quelque chose à gagner à causer de
l'instabilité
au Liban. Le président libanais Lahoud et le Hizbollah, qui représentent
deux importantes factions du gouvernement libanais, ont condamné l'attentat,
et leurs propres experts disent que l'explosion présentait toutes les
caractéristiques des attentats perpétrés par les Israéliens contre d'anciens
dirigeants palestiniens à Beyrouth, par le passé. L'Amérique et Israël
veulent voir la Syrie hors du Liban, mais la majorité des Libanais sait bien
que la présence syrienne est une aide apportée à leur pays, qu'elle
contribue à dissuader les Israéliens d'envahir une nouvelle fois le Liban
(ce qu'Israël, rappelons-le, a fait dans les années 1980, après quoi il
s'était
maintenu dans le sud dont il occupa longtemps une partie, jusqu'à ce que le
Hezbollah le passe dehors manu militari). Aussi, en assassinant Hariri, les
Israéliens et les Américains peuvent les uns comme les autres prétendre que
la région est plus instable et a besoin de plus de "démocratie" à la mode
américaine et de plus d'occupation. Hariri était un géant, parmi les
dirigeants progressistes arabes et musulmans, et bien qu'il ait fait fortune
en Arabie saoudite, pays dans lequel les gouvernants étaient ses amis, son
attitude au Liban était très progressiste, et il avait veillé à ce que
l'Eglise
et l'Etat soient maintenus séparés l'une de l'autre dans le processus
libanais de la prise de décision politique.

Hariri était aimé de tous, dans tous les camps, y compris chez ses anciens
ennemis. Ils voyaient en lui un homme qui avait grandement contribué à faire
sortir le Liban du chaos qu'y avait provoqué Israël et ses alliés
phalangistes durant l'invasion de 1982. Il faut aussi se souvenir du fait
que l'homme qui voulait voir le Liban en cendres, et qui mena l'assaut qui
détruisit en quasi totalité Beyrouth n'était autre que l'actuel Premier
ministre d'Israël, Ariel Sharon. Sharon a installé au Liban un groupe
d'agents
de l'ombre, autorisés à tuer quiconque pourrait menacer Israël où que ce
soit dans le monde si ça, ce n'est pas une violation du droit
international!?! Bien entendu, Sharon, comme Bush, a décidé que le droit
international ne s'impose pas aux ambitions égoïstes d'Israël ou de
l'Amérique
dans le monde.

L'assassinat de Hariri, comme bien des assassinats en Irak, est l'ouvre des
agents de l'ombre israéliens ou de mercenaires américains qui ont été pris
en location afin d'éliminer les gens trop progressistes dans le monde arabe
et musulman. C'est la raison pour laquelle aujourd'hui, au Liban, les gens
savent que ce n'est pas on ne sait trop quel "groupe islamiste" dissident
(dont personne n'avait jamais entendu parler, ni dont personne ne croit une
seconde qu'il existe réellement) qui soi-disant aurait revendiqué le méfait.
Et en Irak, où les dirigeants religieux, tant sunnites que chiites, disent à
leur peuple de ne pas se venger les uns sur les autres, parce qu'ils savent
que les tueries sont du travail de pro, accompli par des gens extérieurs à
l'Irak:
j'ai nommé: Israël et l'Amérique. Pour les experts, le parallélisme est
évident. Mais ces experts n'auront jamais accès aux médias américains. Mais
le Professeur Rim Allaf, du Royal Institute, en Angleterre, a raison: il ne
pouvait s'agir que de l'ouvre d'un service secret et nous savons sacrément
bien quels sont les deux seuls services secrets possibles parce qu'ils sont
les deux seuls dont leur pays soit susceptible de tirer un quelconque profit
de cette horreur: Israël, ou l'Amérique.

Souvenez-vous, comme je l'ai dit plus haut, dans les crimes, il faut
toujours rechercher qui a le plus à y gagner. Dans ce cas d'espèce, c'était
à l'évidence l'équipe de Bush et Israël. Et, comme l'a dit Rim Allaf,
l'assassinat
a été l'ouvre «d'un service de renseignement».

Il est grand temps que cessent ces tueries en Irak, au Liban, et même les
assassinats comme celui du Premier ministre de Géorgie, un ennemi des
pipelines américains, et que le monde mette sur pied une équipe d'enquêteurs
qui examine ces questions, parce que ces crimes ne font qu'ajouter au chaos
et à la misère dans le monde. Sam Hamod, Ph D.

in Information Clearing House, 14-2-2005 Traduit de l'anglais par Marcel
Charbonnier

Sam Hamod écrit des articles consacrés à la politique internationale dans
divers journaux et sur divers sites. Il édite également des information sur
le site: www.todaysalternativenews.com


Article publié par Altermedia :
http://fr.altermedia.info/index.php?p=6587...



7 Answers

titeuf

2/18/2005 2:10:00 PM

0

quoi? y en a qui en doutaient encore?

Gilmo

2/18/2005 2:33:00 PM

0



titeuf a écrit:
> quoi? y en a qui en doutaient encore?
>

-Jean- doute aucunement !

menfin

2/18/2005 3:11:00 PM

0

FOUTAISES !
"Henri Fernet" <charlemagne@dark.side> a écrit dans le message de
news:S7mRd.27193$4I5.1229082@news20.bellglobal.com...
> Israël et/ou l'Amérique sont impliqués dans l'assassinat de Rafiq Hariri
>
> «C'est l'oeuvre d'un service de renseignement, pas d'un petit groupe», a
dit
> Rime Allaf, analyste spécialiste du Moyen-Orient au Royal Institute of
> International Affairs de Londres.
>
> Il nous faut procéder comme dans d'autres affaires criminelles: regarder à
> qui l'assassinat du Premier ministre Hariri pourrait le plus profiter. Les
> Libanais avaient beaucoup à y perdre, tout comme les Syriens (Hariri était
> proche de Bashir al-Assad, le président syrien), et il en va de même des
> autres pays arabes de la région, qui voyait en lui un leader solide et une
> force stabilisatrice pour la politique libanaise. En revanche, Israël veut
> depuis longtemps l'installation du chaos au Liban, comme l'Amérique, et
les
> deux pays s'agitent depuis longtemps pour que le Hizbollah soit mis
> hors-la-loi et tant l'Amérique qu'Israël veulent expulser la Syrie du
Liban.
> Dans les deux cas, le gouvernement libanais a répondu: «Non»: «le
Hizbollah
> est une composante respectable de la vie politique libanaise, et la Syrie
> est ici, au Liban, afin de le protéger d'une éventuelle agression
> israélienne».
>
> Vous avez beau chercher, vous ne trouverez personne d'autre qui ait quoi
que
> ce soit à gagner à cet assassinat, mis à part Israël et les Etats-Unis,
> parce que la mort de Hariri est susceptible de causer des troubles dans la
> vie politique et la vie tout court au Liban, ce qu'ils souhaitent
ardemment.
>
> La plupart des experts du Moyen-Orient, dans le monde arabo-musulman,
> pensent que ce sont des mains israéliennes qui ont ouvré à assassiner
> l'ex-Premier
> ministre libanais, Rafiq Hariri.
>
> L'Amérique a été prompte à pointer un index accusateur sur la Syrie, comme
> Israël, ce qui revenait à avouer leur propre culpabilité, ces deux pays
> étant les deux seuls à avoir quelque chose à gagner à causer de
> l'instabilité
> au Liban. Le président libanais Lahoud et le Hizbollah, qui représentent
> deux importantes factions du gouvernement libanais, ont condamné
l'attentat,
> et leurs propres experts disent que l'explosion présentait toutes les
> caractéristiques des attentats perpétrés par les Israéliens contre
d'anciens
> dirigeants palestiniens à Beyrouth, par le passé. L'Amérique et Israël
> veulent voir la Syrie hors du Liban, mais la majorité des Libanais sait
bien
> que la présence syrienne est une aide apportée à leur pays, qu'elle
> contribue à dissuader les Israéliens d'envahir une nouvelle fois le Liban
> (ce qu'Israël, rappelons-le, a fait dans les années 1980, après quoi il
> s'était
> maintenu dans le sud dont il occupa longtemps une partie, jusqu'à ce que
le
> Hezbollah le passe dehors manu militari). Aussi, en assassinant Hariri,
les
> Israéliens et les Américains peuvent les uns comme les autres prétendre
que
> la région est plus instable et a besoin de plus de "démocratie" à la mode
> américaine et de plus d'occupation. Hariri était un géant, parmi les
> dirigeants progressistes arabes et musulmans, et bien qu'il ait fait
fortune
> en Arabie saoudite, pays dans lequel les gouvernants étaient ses amis, son
> attitude au Liban était très progressiste, et il avait veillé à ce que
> l'Eglise
> et l'Etat soient maintenus séparés l'une de l'autre dans le processus
> libanais de la prise de décision politique.
>
> Hariri était aimé de tous, dans tous les camps, y compris chez ses anciens
> ennemis. Ils voyaient en lui un homme qui avait grandement contribué à
faire
> sortir le Liban du chaos qu'y avait provoqué Israël et ses alliés
> phalangistes durant l'invasion de 1982. Il faut aussi se souvenir du fait
> que l'homme qui voulait voir le Liban en cendres, et qui mena l'assaut qui
> détruisit en quasi totalité Beyrouth n'était autre que l'actuel Premier
> ministre d'Israël, Ariel Sharon. Sharon a installé au Liban un groupe
> d'agents
> de l'ombre, autorisés à tuer quiconque pourrait menacer Israël où que ce
> soit dans le monde si ça, ce n'est pas une violation du droit
> international!?! Bien entendu, Sharon, comme Bush, a décidé que le droit
> international ne s'impose pas aux ambitions égoïstes d'Israël ou de
> l'Amérique
> dans le monde.
>
> L'assassinat de Hariri, comme bien des assassinats en Irak, est l'ouvre
des
> agents de l'ombre israéliens ou de mercenaires américains qui ont été pris
> en location afin d'éliminer les gens trop progressistes dans le monde
arabe
> et musulman. C'est la raison pour laquelle aujourd'hui, au Liban, les gens
> savent que ce n'est pas on ne sait trop quel "groupe islamiste" dissident
> (dont personne n'avait jamais entendu parler, ni dont personne ne croit
une
> seconde qu'il existe réellement) qui soi-disant aurait revendiqué le
méfait.
> Et en Irak, où les dirigeants religieux, tant sunnites que chiites, disent
à
> leur peuple de ne pas se venger les uns sur les autres, parce qu'ils
savent
> que les tueries sont du travail de pro, accompli par des gens extérieurs à
> l'Irak:
> j'ai nommé: Israël et l'Amérique. Pour les experts, le parallélisme est
> évident. Mais ces experts n'auront jamais accès aux médias américains.
Mais
> le Professeur Rim Allaf, du Royal Institute, en Angleterre, a raison: il
ne
> pouvait s'agir que de l'ouvre d'un service secret et nous savons sacrément
> bien quels sont les deux seuls services secrets possibles parce qu'ils
sont
> les deux seuls dont leur pays soit susceptible de tirer un quelconque
profit
> de cette horreur: Israël, ou l'Amérique.
>
> Souvenez-vous, comme je l'ai dit plus haut, dans les crimes, il faut
> toujours rechercher qui a le plus à y gagner. Dans ce cas d'espèce,
c'était
> à l'évidence l'équipe de Bush et Israël. Et, comme l'a dit Rim Allaf,
> l'assassinat
> a été l'ouvre «d'un service de renseignement».
>
> Il est grand temps que cessent ces tueries en Irak, au Liban, et même les
> assassinats comme celui du Premier ministre de Géorgie, un ennemi des
> pipelines américains, et que le monde mette sur pied une équipe
d'enquêteurs
> qui examine ces questions, parce que ces crimes ne font qu'ajouter au
chaos
> et à la misère dans le monde. Sam Hamod, Ph D.
>
> in Information Clearing House, 14-2-2005 Traduit de l'anglais par Marcel
> Charbonnier
>
> Sam Hamod écrit des articles consacrés à la politique internationale dans
> divers journaux et sur divers sites. Il édite également des information
sur
> le site: www.todaysalternativenews.com
>
>
> Article publié par Altermedia :
> http://fr.altermedia.info/index.php?p=6587...
>
>
>


GG

2/19/2005 2:24:00 AM

0

les experts du monde Arab-Musulmans pensent aussi que le 11 Septembre a ete
l'oeuvre du Mossad, que les juifs sacrifient des enfants chretiens ou
musulmans, que le tsunami a ete l'euvre de la mechante coalition
indo-israelo-americaine. Bref n'importe quoi!.
Personellement, je me fous completement de leur savantes analyses. En fait
c'est fait a l'envers: Bush et Sharon sont coupables, maintenant comment en
arriver a cette conclusion?

GG
"Henri Fernet" <charlemagne@dark.side> wrote in message
news:S7mRd.27193$4I5.1229082@news20.bellglobal.com...
> Israël et/ou l'Amérique sont impliqués dans l'assassinat de Rafiq Hariri
>
> «C'est l'oeuvre d'un service de renseignement, pas d'un petit groupe», a
dit
> Rime Allaf, analyste spécialiste du Moyen-Orient au Royal Institute of
> International Affairs de Londres.
>
> Il nous faut procéder comme dans d'autres affaires criminelles: regarder à
> qui l'assassinat du Premier ministre Hariri pourrait le plus profiter. Les
> Libanais avaient beaucoup à y perdre, tout comme les Syriens (Hariri était
> proche de Bashir al-Assad, le président syrien), et il en va de même des
> autres pays arabes de la région, qui voyait en lui un leader solide et une
> force stabilisatrice pour la politique libanaise. En revanche, Israël veut
> depuis longtemps l'installation du chaos au Liban, comme l'Amérique, et
les
> deux pays s'agitent depuis longtemps pour que le Hizbollah soit mis
> hors-la-loi et tant l'Amérique qu'Israël veulent expulser la Syrie du
Liban.
> Dans les deux cas, le gouvernement libanais a répondu: «Non»: «le
Hizbollah
> est une composante respectable de la vie politique libanaise, et la Syrie
> est ici, au Liban, afin de le protéger d'une éventuelle agression
> israélienne».
>
> Vous avez beau chercher, vous ne trouverez personne d'autre qui ait quoi
que
> ce soit à gagner à cet assassinat, mis à part Israël et les Etats-Unis,
> parce que la mort de Hariri est susceptible de causer des troubles dans la
> vie politique et la vie tout court au Liban, ce qu'ils souhaitent
ardemment.
>
> La plupart des experts du Moyen-Orient, dans le monde arabo-musulman,
> pensent que ce sont des mains israéliennes qui ont ouvré à assassiner
> l'ex-Premier
> ministre libanais, Rafiq Hariri.
>
> L'Amérique a été prompte à pointer un index accusateur sur la Syrie, comme
> Israël, ce qui revenait à avouer leur propre culpabilité, ces deux pays
> étant les deux seuls à avoir quelque chose à gagner à causer de
> l'instabilité
> au Liban. Le président libanais Lahoud et le Hizbollah, qui représentent
> deux importantes factions du gouvernement libanais, ont condamné
l'attentat,
> et leurs propres experts disent que l'explosion présentait toutes les
> caractéristiques des attentats perpétrés par les Israéliens contre
d'anciens
> dirigeants palestiniens à Beyrouth, par le passé. L'Amérique et Israël
> veulent voir la Syrie hors du Liban, mais la majorité des Libanais sait
bien
> que la présence syrienne est une aide apportée à leur pays, qu'elle
> contribue à dissuader les Israéliens d'envahir une nouvelle fois le Liban
> (ce qu'Israël, rappelons-le, a fait dans les années 1980, après quoi il
> s'était
> maintenu dans le sud dont il occupa longtemps une partie, jusqu'à ce que
le
> Hezbollah le passe dehors manu militari). Aussi, en assassinant Hariri,
les
> Israéliens et les Américains peuvent les uns comme les autres prétendre
que
> la région est plus instable et a besoin de plus de "démocratie" à la mode
> américaine et de plus d'occupation. Hariri était un géant, parmi les
> dirigeants progressistes arabes et musulmans, et bien qu'il ait fait
fortune
> en Arabie saoudite, pays dans lequel les gouvernants étaient ses amis, son
> attitude au Liban était très progressiste, et il avait veillé à ce que
> l'Eglise
> et l'Etat soient maintenus séparés l'une de l'autre dans le processus
> libanais de la prise de décision politique.
>
> Hariri était aimé de tous, dans tous les camps, y compris chez ses anciens
> ennemis. Ils voyaient en lui un homme qui avait grandement contribué à
faire
> sortir le Liban du chaos qu'y avait provoqué Israël et ses alliés
> phalangistes durant l'invasion de 1982. Il faut aussi se souvenir du fait
> que l'homme qui voulait voir le Liban en cendres, et qui mena l'assaut qui
> détruisit en quasi totalité Beyrouth n'était autre que l'actuel Premier
> ministre d'Israël, Ariel Sharon. Sharon a installé au Liban un groupe
> d'agents
> de l'ombre, autorisés à tuer quiconque pourrait menacer Israël où que ce
> soit dans le monde si ça, ce n'est pas une violation du droit
> international!?! Bien entendu, Sharon, comme Bush, a décidé que le droit
> international ne s'impose pas aux ambitions égoïstes d'Israël ou de
> l'Amérique
> dans le monde.
>
> L'assassinat de Hariri, comme bien des assassinats en Irak, est l'ouvre
des
> agents de l'ombre israéliens ou de mercenaires américains qui ont été pris
> en location afin d'éliminer les gens trop progressistes dans le monde
arabe
> et musulman. C'est la raison pour laquelle aujourd'hui, au Liban, les gens
> savent que ce n'est pas on ne sait trop quel "groupe islamiste" dissident
> (dont personne n'avait jamais entendu parler, ni dont personne ne croit
une
> seconde qu'il existe réellement) qui soi-disant aurait revendiqué le
méfait.
> Et en Irak, où les dirigeants religieux, tant sunnites que chiites, disent
à
> leur peuple de ne pas se venger les uns sur les autres, parce qu'ils
savent
> que les tueries sont du travail de pro, accompli par des gens extérieurs à
> l'Irak:
> j'ai nommé: Israël et l'Amérique. Pour les experts, le parallélisme est
> évident. Mais ces experts n'auront jamais accès aux médias américains.
Mais
> le Professeur Rim Allaf, du Royal Institute, en Angleterre, a raison: il
ne
> pouvait s'agir que de l'ouvre d'un service secret et nous savons sacrément
> bien quels sont les deux seuls services secrets possibles parce qu'ils
sont
> les deux seuls dont leur pays soit susceptible de tirer un quelconque
profit
> de cette horreur: Israël, ou l'Amérique.
>
> Souvenez-vous, comme je l'ai dit plus haut, dans les crimes, il faut
> toujours rechercher qui a le plus à y gagner. Dans ce cas d'espèce,
c'était
> à l'évidence l'équipe de Bush et Israël. Et, comme l'a dit Rim Allaf,
> l'assassinat
> a été l'ouvre «d'un service de renseignement».
>
> Il est grand temps que cessent ces tueries en Irak, au Liban, et même les
> assassinats comme celui du Premier ministre de Géorgie, un ennemi des
> pipelines américains, et que le monde mette sur pied une équipe
d'enquêteurs
> qui examine ces questions, parce que ces crimes ne font qu'ajouter au
chaos
> et à la misère dans le monde. Sam Hamod, Ph D.
>
> in Information Clearing House, 14-2-2005 Traduit de l'anglais par Marcel
> Charbonnier
>
> Sam Hamod écrit des articles consacrés à la politique internationale dans
> divers journaux et sur divers sites. Il édite également des information
sur
> le site: www.todaysalternativenews.com
>
>
> Article publié par Altermedia :
> http://fr.altermedia.info/index.php?p=6587...
>
>
>


Henri Fernet

2/19/2005 12:56:00 PM

0


> les experts du monde Arab-Musulmans pensent aussi que le 11 Septembre a
> ete
> l'oeuvre du Mossad, que les juifs sacrifient des enfants chretiens ou
> musulmans, que le tsunami a ete l'euvre de la mechante coalition
> indo-israelo-americaine. Bref n'importe quoi!.

Ne mélangeons pas actes terroristes (télécommandés par le système ou divers
groupes de renseignements tel le mossad/cia), génocides populaires contre
les
palestiniens et quelques desastres natuels. La dernière affirmation n'est là
que pour
ridiculer les deux premières. Pas besoin d'être clairvoyant ou devin pour
comprendre le jeu se lequel se base la guerre contre l'axe du mal, pas
besoin d'être un grand stratège ou un grand intellectuel.
C'est le bon sens même.

D'un côté des arabes agressés chez eux et de l'autre un système dont les
moyens sont sans comparaison. LA seule différence ici est la volonté de
puissance des résistants arabes.

Désolé pour les écolos ou pro-sionistes (dantec inc.),
l'assassinat n'est pas l'oeuvre de Dame Nature, mais de groupes très
puissants qui voient d'un mauvais oeil la prolongation du régime baassiste
irakien en Syrie. Le gouvernement actuel est laïc donc ne peut exciter en
rien vos fantasmes sur l'islam intégriste. là bas, nous avons affaire à une
lutte populaire et non à du terrorisme à l'eau de rose américaine.

> Personellement, je me fous completement de leur savantes analyses. En fait
> c'est fait a l'envers: Bush et Sharon sont coupables, maintenant comment
> en
> arriver a cette conclusion?
>

Je ne participerai pas à répondre à cette question ridicule. Des gens qui
passe leur temps à dire "je me fous de" ne me donne pas grande impression.
Souvent ce sont des gens refermés dans leur bulle qui se croit grand
stratège, plus intelligent parce que "à droite". Dans les fait ce sont des
parfaits autruches, la tête dans le sable. Bien profondément ! Sans se
rendre compte, ils sont la main utile du système. Depuis 2001, ils ne sont
pas utiles, ils sont indispensables.

Maintenant que les masses médias occidentales (tous tendancieusement
pro-sionistes et contemplatifs de l'holocauste) comment espérer une analyse
froide et
saine de la situation au proche-orient? Monsieur GG dit qu'il "se fous". On
arrête la discussion, monsieur l'a dit. Ça l'intéresse pas. (ridicule)

Tant qu'à faire, il devrait aller rejoindre ses camarades de la revue
Egards.

Mon chat aussi "il s'en fous", mais est-il plus intelligent pour autant ?





> GG
> "Henri Fernet" <charlemagne@dark.side> wrote in message
> news:S7mRd.27193$4I5.1229082@news20.bellglobal.com...
>> Israël et/ou l'Amérique sont impliqués dans l'assassinat de Rafiq Hariri
>>
>> «C'est l'oeuvre d'un service de renseignement, pas d'un petit groupe», a
> dit
>> Rime Allaf, analyste spécialiste du Moyen-Orient au Royal Institute of
>> International Affairs de Londres.
>>
>> Il nous faut procéder comme dans d'autres affaires criminelles: regarder
>> à
>> qui l'assassinat du Premier ministre Hariri pourrait le plus profiter.
>> Les
>> Libanais avaient beaucoup à y perdre, tout comme les Syriens (Hariri
>> était
>> proche de Bashir al-Assad, le président syrien), et il en va de même des
>> autres pays arabes de la région, qui voyait en lui un leader solide et
>> une
>> force stabilisatrice pour la politique libanaise. En revanche, Israël
>> veut
>> depuis longtemps l'installation du chaos au Liban, comme l'Amérique, et
> les
>> deux pays s'agitent depuis longtemps pour que le Hizbollah soit mis
>> hors-la-loi et tant l'Amérique qu'Israël veulent expulser la Syrie du
> Liban.
>> Dans les deux cas, le gouvernement libanais a répondu: «Non»: «le
> Hizbollah
>> est une composante respectable de la vie politique libanaise, et la Syrie
>> est ici, au Liban, afin de le protéger d'une éventuelle agression
>> israélienne».
>>
>> Vous avez beau chercher, vous ne trouverez personne d'autre qui ait quoi
> que
>> ce soit à gagner à cet assassinat, mis à part Israël et les Etats-Unis,
>> parce que la mort de Hariri est susceptible de causer des troubles dans
>> la
>> vie politique et la vie tout court au Liban, ce qu'ils souhaitent
> ardemment.
>>
>> La plupart des experts du Moyen-Orient, dans le monde arabo-musulman,
>> pensent que ce sont des mains israéliennes qui ont ouvré à assassiner
>> l'ex-Premier
>> ministre libanais, Rafiq Hariri.
>>
>> L'Amérique a été prompte à pointer un index accusateur sur la Syrie,
>> comme
>> Israël, ce qui revenait à avouer leur propre culpabilité, ces deux pays
>> étant les deux seuls à avoir quelque chose à gagner à causer de
>> l'instabilité
>> au Liban. Le président libanais Lahoud et le Hizbollah, qui représentent
>> deux importantes factions du gouvernement libanais, ont condamné
> l'attentat,
>> et leurs propres experts disent que l'explosion présentait toutes les
>> caractéristiques des attentats perpétrés par les Israéliens contre
> d'anciens
>> dirigeants palestiniens à Beyrouth, par le passé. L'Amérique et Israël
>> veulent voir la Syrie hors du Liban, mais la majorité des Libanais sait
> bien
>> que la présence syrienne est une aide apportée à leur pays, qu'elle
>> contribue à dissuader les Israéliens d'envahir une nouvelle fois le Liban
>> (ce qu'Israël, rappelons-le, a fait dans les années 1980, après quoi il
>> s'était
>> maintenu dans le sud dont il occupa longtemps une partie, jusqu'à ce que
> le
>> Hezbollah le passe dehors manu militari). Aussi, en assassinant Hariri,
> les
>> Israéliens et les Américains peuvent les uns comme les autres prétendre
> que
>> la région est plus instable et a besoin de plus de "démocratie" à la mode
>> américaine et de plus d'occupation. Hariri était un géant, parmi les
>> dirigeants progressistes arabes et musulmans, et bien qu'il ait fait
> fortune
>> en Arabie saoudite, pays dans lequel les gouvernants étaient ses amis,
>> son
>> attitude au Liban était très progressiste, et il avait veillé à ce que
>> l'Eglise
>> et l'Etat soient maintenus séparés l'une de l'autre dans le processus
>> libanais de la prise de décision politique.
>>
>> Hariri était aimé de tous, dans tous les camps, y compris chez ses
>> anciens
>> ennemis. Ils voyaient en lui un homme qui avait grandement contribué à
> faire
>> sortir le Liban du chaos qu'y avait provoqué Israël et ses alliés
>> phalangistes durant l'invasion de 1982. Il faut aussi se souvenir du fait
>> que l'homme qui voulait voir le Liban en cendres, et qui mena l'assaut
>> qui
>> détruisit en quasi totalité Beyrouth n'était autre que l'actuel Premier
>> ministre d'Israël, Ariel Sharon. Sharon a installé au Liban un groupe
>> d'agents
>> de l'ombre, autorisés à tuer quiconque pourrait menacer Israël où que ce
>> soit dans le monde si ça, ce n'est pas une violation du droit
>> international!?! Bien entendu, Sharon, comme Bush, a décidé que le droit
>> international ne s'impose pas aux ambitions égoïstes d'Israël ou de
>> l'Amérique
>> dans le monde.
>>
>> L'assassinat de Hariri, comme bien des assassinats en Irak, est l'ouvre
> des
>> agents de l'ombre israéliens ou de mercenaires américains qui ont été
>> pris
>> en location afin d'éliminer les gens trop progressistes dans le monde
> arabe
>> et musulman. C'est la raison pour laquelle aujourd'hui, au Liban, les
>> gens
>> savent que ce n'est pas on ne sait trop quel "groupe islamiste" dissident
>> (dont personne n'avait jamais entendu parler, ni dont personne ne croit
> une
>> seconde qu'il existe réellement) qui soi-disant aurait revendiqué le
> méfait.
>> Et en Irak, où les dirigeants religieux, tant sunnites que chiites,
>> disent
> à
>> leur peuple de ne pas se venger les uns sur les autres, parce qu'ils
> savent
>> que les tueries sont du travail de pro, accompli par des gens extérieurs
>> à
>> l'Irak:
>> j'ai nommé: Israël et l'Amérique. Pour les experts, le parallélisme est
>> évident. Mais ces experts n'auront jamais accès aux médias américains.
> Mais
>> le Professeur Rim Allaf, du Royal Institute, en Angleterre, a raison: il
> ne
>> pouvait s'agir que de l'ouvre d'un service secret et nous savons
>> sacrément
>> bien quels sont les deux seuls services secrets possibles parce qu'ils
> sont
>> les deux seuls dont leur pays soit susceptible de tirer un quelconque
> profit
>> de cette horreur: Israël, ou l'Amérique.
>>
>> Souvenez-vous, comme je l'ai dit plus haut, dans les crimes, il faut
>> toujours rechercher qui a le plus à y gagner. Dans ce cas d'espèce,
> c'était
>> à l'évidence l'équipe de Bush et Israël. Et, comme l'a dit Rim Allaf,
>> l'assassinat
>> a été l'ouvre «d'un service de renseignement».
>>
>> Il est grand temps que cessent ces tueries en Irak, au Liban, et même les
>> assassinats comme celui du Premier ministre de Géorgie, un ennemi des
>> pipelines américains, et que le monde mette sur pied une équipe
> d'enquêteurs
>> qui examine ces questions, parce que ces crimes ne font qu'ajouter au
> chaos
>> et à la misère dans le monde. Sam Hamod, Ph D.
>>
>> in Information Clearing House, 14-2-2005 Traduit de l'anglais par Marcel
>> Charbonnier
>>
>> Sam Hamod écrit des articles consacrés à la politique internationale dans
>> divers journaux et sur divers sites. Il édite également des information
> sur
>> le site: www.todaysalternativenews.com
>>
>>
>> Article publié par Altermedia :
>> http://fr.altermedia.info/index.php?p=6587...
>>
>>
>>
>
>




loisillon

2/21/2005 11:03:00 PM

0

In article <S7mRd.27193$4I5.1229082@news20.bellglobal.com>, Henri Fernet says...
>
>Israël et/ou l'Amérique sont impliqués dans l'assassinat de Rafiq Hariri
>
>«C'est l'oeuvre d'un service de renseignement, pas d'un petit groupe», a dit
>Rime Allaf, analyste spécialiste du Moyen-Orient au Royal Institute of
>International Affairs de Londres.
>
>Il nous faut procéder comme dans d'autres affaires criminelles: regarder à
>qui l'assassinat du Premier ministre Hariri pourrait le plus profiter. Les
>Libanais avaient beaucoup à y perdre, tout comme les Syriens (Hariri était
>proche de Bashir al-Assad, le président syrien), et il en va de même des
>autres pays arabes de la région, qui voyait en lui un leader solide et une
>force stabilisatrice pour la politique libanaise. En revanche, Israël veut
>depuis longtemps l'installation du chaos au Liban, comme l'Amérique, et les
>deux pays s'agitent depuis longtemps pour que le Hizbollah soit mis
>hors-la-loi et tant l'Amérique qu'Israël veulent expulser la Syrie du Liban.
>Dans les deux cas, le gouvernement libanais a répondu: «Non»: «le Hizbollah
>est une composante respectable de la vie politique libanaise, et la Syrie
>est ici, au Liban, afin de le protéger d'une éventuelle agression
>israélienne».
>
>Vous avez beau chercher, vous ne trouverez personne d'autre qui ait quoi que
>ce soit à gagner à cet assassinat, mis à part Israël et les Etats-Unis,
>parce que la mort de Hariri est susceptible de causer des troubles dans la
>vie politique et la vie tout court au Liban, ce qu'ils souhaitent ardemment.
>
>La plupart des experts du Moyen-Orient, dans le monde arabo-musulman,
>pensent que ce sont des mains israéliennes qui ont ouvré à assassiner
>l'ex-Premier
>ministre libanais, Rafiq Hariri.
>
>L'Amérique a été prompte à pointer un index accusateur sur la Syrie, comme
>Israël, ce qui revenait à avouer leur propre culpabilité, ces deux pays
>étant les deux seuls à avoir quelque chose à gagner à causer de
>l'instabilité
>au Liban. Le président libanais Lahoud et le Hizbollah, qui représentent
>deux importantes factions du gouvernement libanais, ont condamné l'attentat,
>et leurs propres experts disent que l'explosion présentait toutes les
>caractéristiques des attentats perpétrés par les Israéliens contre d'anciens
>dirigeants palestiniens à Beyrouth, par le passé. L'Amérique et Israël
>veulent voir la Syrie hors du Liban, mais la majorité des Libanais sait bien
>que la présence syrienne est une aide apportée à leur pays, qu'elle
>contribue à dissuader les Israéliens d'envahir une nouvelle fois le Liban
>(ce qu'Israël, rappelons-le, a fait dans les années 1980, après quoi il
>s'était
>maintenu dans le sud dont il occupa longtemps une partie, jusqu'à ce que le
>Hezbollah le passe dehors manu militari). Aussi, en assassinant Hariri, les
>Israéliens et les Américains peuvent les uns comme les autres prétendre que
>la région est plus instable et a besoin de plus de "démocratie" à la mode
>américaine et de plus d'occupation. Hariri était un géant, parmi les
>dirigeants progressistes arabes et musulmans, et bien qu'il ait fait fortune
>en Arabie saoudite, pays dans lequel les gouvernants étaient ses amis, son
>attitude au Liban était très progressiste, et il avait veillé à ce que
>l'Eglise
>et l'Etat soient maintenus séparés l'une de l'autre dans le processus
>libanais de la prise de décision politique.
>
>Hariri était aimé de tous, dans tous les camps, y compris chez ses anciens
>ennemis. Ils voyaient en lui un homme qui avait grandement contribué à faire
>sortir le Liban du chaos qu'y avait provoqué Israël et ses alliés
>phalangistes durant l'invasion de 1982. Il faut aussi se souvenir du fait
>que l'homme qui voulait voir le Liban en cendres, et qui mena l'assaut qui
>détruisit en quasi totalité Beyrouth n'était autre que l'actuel Premier
>ministre d'Israël, Ariel Sharon. Sharon a installé au Liban un groupe
>d'agents
>de l'ombre, autorisés à tuer quiconque pourrait menacer Israël où que ce
>soit dans le monde si ça, ce n'est pas une violation du droit
>international!?! Bien entendu, Sharon, comme Bush, a décidé que le droit
>international ne s'impose pas aux ambitions égoïstes d'Israël ou de
>l'Amérique
>dans le monde.
>
>L'assassinat de Hariri, comme bien des assassinats en Irak, est l'ouvre des
>agents de l'ombre israéliens ou de mercenaires américains qui ont été pris
>en location afin d'éliminer les gens trop progressistes dans le monde arabe
>et musulman. C'est la raison pour laquelle aujourd'hui, au Liban, les gens
>savent que ce n'est pas on ne sait trop quel "groupe islamiste" dissident
>(dont personne n'avait jamais entendu parler, ni dont personne ne croit une
>seconde qu'il existe réellement) qui soi-disant aurait revendiqué le méfait.
>Et en Irak, où les dirigeants religieux, tant sunnites que chiites, disent à
>leur peuple de ne pas se venger les uns sur les autres, parce qu'ils savent
>que les tueries sont du travail de pro, accompli par des gens extérieurs à
>l'Irak:
>j'ai nommé: Israël et l'Amérique. Pour les experts, le parallélisme est
>évident. Mais ces experts n'auront jamais accès aux médias américains. Mais
>le Professeur Rim Allaf, du Royal Institute, en Angleterre, a raison: il ne
>pouvait s'agir que de l'ouvre d'un service secret et nous savons sacrément
>bien quels sont les deux seuls services secrets possibles parce qu'ils sont
>les deux seuls dont leur pays soit susceptible de tirer un quelconque profit
>de cette horreur: Israël, ou l'Amérique.
>
>Souvenez-vous, comme je l'ai dit plus haut, dans les crimes, il faut
>toujours rechercher qui a le plus à y gagner. Dans ce cas d'espèce, c'était
>à l'évidence l'équipe de Bush et Israël. Et, comme l'a dit Rim Allaf,
>l'assassinat
>a été l'ouvre «d'un service de renseignement».
>
>Il est grand temps que cessent ces tueries en Irak, au Liban, et même les
>assassinats comme celui du Premier ministre de Géorgie, un ennemi des
>pipelines américains, et que le monde mette sur pied une équipe d'enquêteurs
>qui examine ces questions, parce que ces crimes ne font qu'ajouter au chaos
>et à la misère dans le monde. Sam Hamod, Ph D.
>
>in Information Clearing House, 14-2-2005 Traduit de l'anglais par Marcel
>Charbonnier
>
>Sam Hamod écrit des articles consacrés à la politique internationale dans
>divers journaux et sur divers sites. Il édite également des information sur
>le site: www.todaysalternativenews.com
>
>
>Article publié par Altermedia :
>http://fr.altermedia.info/index.php?p=6587...

Y a pas à dire, sur fsp, on n'est pas plus informé qu'ailleurs, mais au moins
les scénaristes tâcherons pour Hollywood ou les téléfilms peuvent trouver de
l'inspiration.

GG

2/22/2005 4:39:00 AM

0

Ce que je voulais dire, c'est que vous partez des conclusions et vous broder
autour. Comme l'anti-americanisme fait recette, on n'a qu'a mentionner d'un
air entendu que Bush et/ou Sharon sont derriere -quoi que ce soit: tsunami,
assassinat au Liban, etc.. pour obtenir l'effet voulu. Que le regime
baassiste soit laic ne change rien: ils occupent le Liban et mysterieusement
le principale opposant est assassine. Ah mais voila c'est justement un
complot de ces perfides israelo-Americain pour faire porter le chapeau aux
Syriens, c'est de la meme mouture que le 11 Sepetembre qui serait un complot
du Mossad. A qui profite le crime? On vient d'eliminer le pricipal opposant
a la presence Syrienne...

Je note que tu parle des arabes agresse chez eux, mais pas des libanais
agresse chez eux et ou le pantin deleguide de Damas vient de prolonger son
mandat.
GG



"Henri Fernet" <charlemagne@dark.side> wrote in message
news:aHGRd.34269$4I5.1465603@news20.bellglobal.com...
>
> > les experts du monde Arab-Musulmans pensent aussi que le 11 Septembre a
> > ete
> > l'oeuvre du Mossad, que les juifs sacrifient des enfants chretiens ou
> > musulmans, que le tsunami a ete l'euvre de la mechante coalition
> > indo-israelo-americaine. Bref n'importe quoi!.
>
> Ne mélangeons pas actes terroristes (télécommandés par le système ou
divers
> groupes de renseignements tel le mossad/cia), génocides populaires contre
> les
> palestiniens et quelques desastres natuels. La dernière affirmation n'est

> que pour
> ridiculer les deux premières. Pas besoin d'être clairvoyant ou devin pour
> comprendre le jeu se lequel se base la guerre contre l'axe du mal, pas
> besoin d'être un grand stratège ou un grand intellectuel.
> C'est le bon sens même.
>
> D'un côté des arabes agressés chez eux et de l'autre un système dont les
> moyens sont sans comparaison. LA seule différence ici est la volonté de
> puissance des résistants arabes.
>
> Désolé pour les écolos ou pro-sionistes (dantec inc.),
> l'assassinat n'est pas l'oeuvre de Dame Nature, mais de groupes très
> puissants qui voient d'un mauvais oeil la prolongation du régime baassiste
> irakien en Syrie. Le gouvernement actuel est laïc donc ne peut exciter en
> rien vos fantasmes sur l'islam intégriste. là bas, nous avons affaire à
une
> lutte populaire et non à du terrorisme à l'eau de rose américaine.
>
> > Personellement, je me fous completement de leur savantes analyses. En
fait
> > c'est fait a l'envers: Bush et Sharon sont coupables, maintenant comment
> > en
> > arriver a cette conclusion?
> >
>
> Je ne participerai pas à répondre à cette question ridicule. Des gens qui
> passe leur temps à dire "je me fous de" ne me donne pas grande impression.
> Souvent ce sont des gens refermés dans leur bulle qui se croit grand
> stratège, plus intelligent parce que "à droite". Dans les fait ce sont des
> parfaits autruches, la tête dans le sable. Bien profondément ! Sans se
> rendre compte, ils sont la main utile du système. Depuis 2001, ils ne sont
> pas utiles, ils sont indispensables.
>
> Maintenant que les masses médias occidentales (tous tendancieusement
> pro-sionistes et contemplatifs de l'holocauste) comment espérer une
analyse
> froide et
> saine de la situation au proche-orient? Monsieur GG dit qu'il "se fous".
On
> arrête la discussion, monsieur l'a dit. Ça l'intéresse pas. (ridicule)
>
> Tant qu'à faire, il devrait aller rejoindre ses camarades de la revue
> Egards.
>
> Mon chat aussi "il s'en fous", mais est-il plus intelligent pour autant ?
>
>
>
>
>
> > GG
> > "Henri Fernet" <charlemagne@dark.side> wrote in message
> > news:S7mRd.27193$4I5.1229082@news20.bellglobal.com...
> >> Israël et/ou l'Amérique sont impliqués dans l'assassinat de Rafiq
Hariri
> >>
> >> «C'est l'oeuvre d'un service de renseignement, pas d'un petit groupe»,
a
> > dit
> >> Rime Allaf, analyste spécialiste du Moyen-Orient au Royal Institute of
> >> International Affairs de Londres.
> >>
> >> Il nous faut procéder comme dans d'autres affaires criminelles:
regarder
> >> à
> >> qui l'assassinat du Premier ministre Hariri pourrait le plus profiter.
> >> Les
> >> Libanais avaient beaucoup à y perdre, tout comme les Syriens (Hariri
> >> était
> >> proche de Bashir al-Assad, le président syrien), et il en va de même
des
> >> autres pays arabes de la région, qui voyait en lui un leader solide et
> >> une
> >> force stabilisatrice pour la politique libanaise. En revanche, Israël
> >> veut
> >> depuis longtemps l'installation du chaos au Liban, comme l'Amérique, et
> > les
> >> deux pays s'agitent depuis longtemps pour que le Hizbollah soit mis
> >> hors-la-loi et tant l'Amérique qu'Israël veulent expulser la Syrie du
> > Liban.
> >> Dans les deux cas, le gouvernement libanais a répondu: «Non»: «le
> > Hizbollah
> >> est une composante respectable de la vie politique libanaise, et la
Syrie
> >> est ici, au Liban, afin de le protéger d'une éventuelle agression
> >> israélienne».
> >>
> >> Vous avez beau chercher, vous ne trouverez personne d'autre qui ait
quoi
> > que
> >> ce soit à gagner à cet assassinat, mis à part Israël et les Etats-Unis,
> >> parce que la mort de Hariri est susceptible de causer des troubles dans
> >> la
> >> vie politique et la vie tout court au Liban, ce qu'ils souhaitent
> > ardemment.
> >>
> >> La plupart des experts du Moyen-Orient, dans le monde arabo-musulman,
> >> pensent que ce sont des mains israéliennes qui ont ouvré à assassiner
> >> l'ex-Premier
> >> ministre libanais, Rafiq Hariri.
> >>
> >> L'Amérique a été prompte à pointer un index accusateur sur la Syrie,
> >> comme
> >> Israël, ce qui revenait à avouer leur propre culpabilité, ces deux pays
> >> étant les deux seuls à avoir quelque chose à gagner à causer de
> >> l'instabilité
> >> au Liban. Le président libanais Lahoud et le Hizbollah, qui
représentent
> >> deux importantes factions du gouvernement libanais, ont condamné
> > l'attentat,
> >> et leurs propres experts disent que l'explosion présentait toutes les
> >> caractéristiques des attentats perpétrés par les Israéliens contre
> > d'anciens
> >> dirigeants palestiniens à Beyrouth, par le passé. L'Amérique et Israël
> >> veulent voir la Syrie hors du Liban, mais la majorité des Libanais sait
> > bien
> >> que la présence syrienne est une aide apportée à leur pays, qu'elle
> >> contribue à dissuader les Israéliens d'envahir une nouvelle fois le
Liban
> >> (ce qu'Israël, rappelons-le, a fait dans les années 1980, après quoi il
> >> s'était
> >> maintenu dans le sud dont il occupa longtemps une partie, jusqu'à ce
que
> > le
> >> Hezbollah le passe dehors manu militari). Aussi, en assassinant Hariri,
> > les
> >> Israéliens et les Américains peuvent les uns comme les autres prétendre
> > que
> >> la région est plus instable et a besoin de plus de "démocratie" à la
mode
> >> américaine et de plus d'occupation. Hariri était un géant, parmi les
> >> dirigeants progressistes arabes et musulmans, et bien qu'il ait fait
> > fortune
> >> en Arabie saoudite, pays dans lequel les gouvernants étaient ses amis,
> >> son
> >> attitude au Liban était très progressiste, et il avait veillé à ce que
> >> l'Eglise
> >> et l'Etat soient maintenus séparés l'une de l'autre dans le processus
> >> libanais de la prise de décision politique.
> >>
> >> Hariri était aimé de tous, dans tous les camps, y compris chez ses
> >> anciens
> >> ennemis. Ils voyaient en lui un homme qui avait grandement contribué à
> > faire
> >> sortir le Liban du chaos qu'y avait provoqué Israël et ses alliés
> >> phalangistes durant l'invasion de 1982. Il faut aussi se souvenir du
fait
> >> que l'homme qui voulait voir le Liban en cendres, et qui mena l'assaut
> >> qui
> >> détruisit en quasi totalité Beyrouth n'était autre que l'actuel Premier
> >> ministre d'Israël, Ariel Sharon. Sharon a installé au Liban un groupe
> >> d'agents
> >> de l'ombre, autorisés à tuer quiconque pourrait menacer Israël où que
ce
> >> soit dans le monde si ça, ce n'est pas une violation du droit
> >> international!?! Bien entendu, Sharon, comme Bush, a décidé que le
droit
> >> international ne s'impose pas aux ambitions égoïstes d'Israël ou de
> >> l'Amérique
> >> dans le monde.
> >>
> >> L'assassinat de Hariri, comme bien des assassinats en Irak, est l'ouvre
> > des
> >> agents de l'ombre israéliens ou de mercenaires américains qui ont été
> >> pris
> >> en location afin d'éliminer les gens trop progressistes dans le monde
> > arabe
> >> et musulman. C'est la raison pour laquelle aujourd'hui, au Liban, les
> >> gens
> >> savent que ce n'est pas on ne sait trop quel "groupe islamiste"
dissident
> >> (dont personne n'avait jamais entendu parler, ni dont personne ne croit
> > une
> >> seconde qu'il existe réellement) qui soi-disant aurait revendiqué le
> > méfait.
> >> Et en Irak, où les dirigeants religieux, tant sunnites que chiites,
> >> disent
> > à
> >> leur peuple de ne pas se venger les uns sur les autres, parce qu'ils
> > savent
> >> que les tueries sont du travail de pro, accompli par des gens
extérieurs
> >> à
> >> l'Irak:
> >> j'ai nommé: Israël et l'Amérique. Pour les experts, le parallélisme est
> >> évident. Mais ces experts n'auront jamais accès aux médias américains.
> > Mais
> >> le Professeur Rim Allaf, du Royal Institute, en Angleterre, a raison:
il
> > ne
> >> pouvait s'agir que de l'ouvre d'un service secret et nous savons
> >> sacrément
> >> bien quels sont les deux seuls services secrets possibles parce qu'ils
> > sont
> >> les deux seuls dont leur pays soit susceptible de tirer un quelconque
> > profit
> >> de cette horreur: Israël, ou l'Amérique.
> >>
> >> Souvenez-vous, comme je l'ai dit plus haut, dans les crimes, il faut
> >> toujours rechercher qui a le plus à y gagner. Dans ce cas d'espèce,
> > c'était
> >> à l'évidence l'équipe de Bush et Israël. Et, comme l'a dit Rim Allaf,
> >> l'assassinat
> >> a été l'ouvre «d'un service de renseignement».
> >>
> >> Il est grand temps que cessent ces tueries en Irak, au Liban, et même
les
> >> assassinats comme celui du Premier ministre de Géorgie, un ennemi des
> >> pipelines américains, et que le monde mette sur pied une équipe
> > d'enquêteurs
> >> qui examine ces questions, parce que ces crimes ne font qu'ajouter au
> > chaos
> >> et à la misère dans le monde. Sam Hamod, Ph D.
> >>
> >> in Information Clearing House, 14-2-2005 Traduit de l'anglais par
Marcel
> >> Charbonnier
> >>
> >> Sam Hamod écrit des articles consacrés à la politique internationale
dans
> >> divers journaux et sur divers sites. Il édite également des information
> > sur
> >> le site: www.todaysalternativenews.com
> >>
> >>
> >> Article publié par Altermedia :
> >> http://fr.altermedia.info/index.php?p=6587...
> >>
> >>
> >>
> >
> >
>
>
>
>